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Dominique Jeanneret
Thérapeute en intégration psychocorporelle PCI (Canada)
Praticienne Méthodes PEAT (France)
Accompagnante en psycho-spiritualité
Enseignante de méditation
Organisatrice et animatrice/guide d’évènements
et voyages en développement personnel
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Bonjour Dominique,
J’ai tenté de réagir à votre « Quand la piqure vous pogne », mais …. impossible de laisser un commentaire sur la page ! J’ai donc cliqué sur « contact » pour vous écrire.
Ce post m’a tout particulièrement touchée (je suis abonnée aux pensées inspirantes, je lisais avec bcp de plaisir le « journal » que tenait votre chat il y a quelques années, et parfois je vous lis, dans le cadre des différents thèmes que vous abordez, et ces lectures me sont d’un très très gros réconfort et secours) lorsque vous abordez le moment où vous vous retrouvez seule chez vous…
J’ai souvent (et je continue…) ressenti ce vide : lorsque j’ai passé du temps en groupe, en famille en belle compagnie et que je repars ensuite chez moi, ou que mes amis s’en vont, et que je me retrouve seule (je suis célibataire sans enfants) un gros et lourd nuage vient encombrer mon coeur …. Et un grand blues m’envahit, je me sens désemparée …. C’est une sensation terriblement angoissante qui peut même se retrouver fort « invalidante » (le mot semble excessif, mais c’est mon ressenti).
Même si j’aime bien mon petit appartement et que je me nourris de quelques activités qui me tiennent à coeur, c’est difficile. Je « travaille » cela depuis pas mal d’années, et au fur et à mesure de mes travaux de réflexion, de mes lectures, de mes rencontres, je parviens à vivre cela avec moins de « terribilité ….. Mais qu’est ce que c’est dur…
Bref, tout ca pour dire que ce que vous avez écrit, j’aurais pu l’écrire aussi.
Je n’ai plus de moyens financiers pour voyager (une récente séparation a fortement endommagé mes ressources), mais si je le pouvais, je viendrais vous rendre visite dans votre beau pays que vous décrivez si bien….
Je n’ai malheureusement personne à vous présenter, mais je suis CERTAINE que vous allez rencontrer un homme bien. Je vous le souhaite de tout mon coeur, car vous méritez que l’Univers vous fasse ce cadeau. Et je suis sure que vous êtes prête à ce que l’Univers vous l’offre…
Au plaisir de continuer à vous lire.
Bien à vous.
Isabelle (Limoges, FRANCE)
Chère Isabelle, je vous remercie pour ce beau partage et vos bons voeux. Je vous souhaite de trouver le bonheur tel que vous le désirez, avec joie et sérénité. J’espère avoir le plaisir de vous rencontrer en France peut-être un jour puisque j’y passe chaque année quelques semaines. Avec tendresse
Bonjour
En ce qui concerne le chèque de l’abondance, et la nouvelle lune, ne pourrait-on pas avoir l’heure exacte.
Merci
Il n’y a pas besoin d’heure exacte….
quelle belle histoire de ce taxi Newyorkais j’ avais les larmes
Le Petit prince d’Antoine de Saint Exupéry, et la beauté de son symbolisme.
« Voici mon secret : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux », dit le Renard au Petit Prince.
« L’essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
« C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
« C’est le temps que j’ai perdu pour ma rose… fit le petit prince, afin de se souvenir.
« Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l’oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose.
« Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince, afin de se souvenir. »
(A. de Saint-Exupéry, Le Petit Prince)
Eva de Vitray Meyerovitch, considérée comme une très grande spécialiste du soufisme et de l’Islam, expliquait en 1982, dans la revue Question de que, sous l’effet du symbolisme, la pensée est incitée à un effort personnel, à une curiosité provoquée, à une recherche. Le premier pas sur la voie de la connaissance mystique sera ce pressentiment d’un au-delà de ce qui n’était perçu que comme une réalité concrète. Dès lors, commence le voyage de l’extérieur vers l’intérieur, de l’apparence à l’inconnu.
Paule Amblard nous dit que « Le symbole est une fenêtre sur l’invisible… Cette ouverture, cette élévation qui nous dépouille de tout attachement à la matière, ce cœur qui s’ouvre, écoute et perçoit au-delà du sens naturaliste. Cette acceptation de la mort et ce retour en enfance. Redevenir enfant ne signifie pas infantile, au contraire, il s’agit de retrouver cette pureté, cette nudité, cette spontanéité, cette confiance d’enfant. Une confiance aimé par le ciel… »
Selon l’Evangile de Matthieu, si nous redevenons comme des « petits enfants » nous entrerons dans le « royaume des cieux ».
Et la même auteure d’écrire dans son livre Un Pèlerinage intérieur : « Il y a dans la vie une source intuitive qui nous pousse au-delà de notre raison. On répond à ce que cette force nous dicte sans trop se demander pourquoi. Ce n’est pas une réaction à un événement, pas une pulsion, mais quelque chose de plus enfoui, une certitude des choses qui dure une seconde mais qui transforme votre vie lorsqu’on la suit. ».
Cette intuition intellectuelle et supra-rationnelle dont il semblent qu’on ait perdu jusqu’à la simple notion, c’est véritablement la connaissance du cœur, suivant une expression qui se rencontre fréquemment dans les doctrines orientales.
Cordialement.